
A l’heure ou les conséquences du réchauffement climatiques se concrétisent, ou l’accès à des mobilités partagées et douces sont plébiscitées, les actions nécessaires ne se concrétisent pas. L’état ne garantit pas les financements prévus dans le dernier contrat de plan et non encore engagés (1). Les projets actuels sont limités. L’action conjointe de la population, de nos associations et syndicats, des élus, est indispensable pour obtenir la mise en œuvre des solutions dont notre territoire a le plus grand besoin.
(1)https://www.budget.gouv.fr/documentation/file-download/28876
extrait page 4:
Concernant les contrats de plan État-Régions, ce document publié par Bercy le 14 janvier considère qu’ils « ne relèvent pas d’un engagement juridique de l’État, mais d’une logique d’intention confirmée sur chaque projet. C’est donc sur chaque projet qu’il faut regarder s’il y a déjà eu un engagement contractuel de l’État. Le fait qu’une dépense s’inscrive dans un CPER, ou autre contrat territorial, ne suffit pas à l’autoriser aux titres des services votés. »
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